J’ai lu le billet d’Eric (Presse-Citron) concernant les fils RSS et son explication sur le fait que cette technologie ne sera jamais grand public. Le relatif retard avec lequel j’ai lu ce billet m’a permis de lire de nombreux commentaires et réactions sur son blog.
Force est de constater que les avis sont partagés. Pour ma part, si je suis d’accord avec certain arguments tendant à penser que les RSS ne sont pas pour tous (notamment à cause du nom !!), je ne suis globalement pas d’accord avec Eric. Lisez la suite »
La France a connu en 2007 des élections présidentielles et legislatives. Cet évènement médiatique a montré toute l’importance de l’Internet dans le combat d’influence au travers des sites web officiels de partis et des blogs notamment.
En 2008, tout recommence, mais à une autre échelle. Elections municipales et cantonales seront très prochainement d’actualité et la question est posée : les stratégies de communication utilisées sur les plans nationaux sont-elles également valables sur les territoires locaux ? Quels sont les opportunités à saisir et les pièges à éviter ?
j’ai été attrapé par de nombreux participants du colloque sur le web 2.0 à la campagne sur la problématique du référencement (ou positionnement dans les moteurs de recherche ) pour le secteur du tourisme et notamment les chambres et gîtes d’hôtes.
Si j’ai donné quelques réponses, j’ai surtout évoqué la logique du référencement dynamique pour laquelle, je vous renvoie vers le blog de Guillaume Buffet qui traite avec expérience de ce sujet.
Et pour répondre à une autre problématique qui a été soulevée. Je crois en effet que les offices du tourisme peuvent fédérer les moyens nécessaires à la mise en place de formation sur la conception et l’animation de sites web, la promotion interactive et la présence dans les moteurs de recherche. Il est en effet souvent difficile à une activité comme les chambres d’hôtes d’avancer les moyens d’un conseil ou de réalisations professionnels. Je suis ouvert à toutes propositions dans ce sens.
Le colloque sur le Web 2.0 à la campagne auquel j’ai participé cette semaine a également été l’occasion de découvrir la nouveauté du Pays du bocage Bressuirais : un portail de services dédié à la vie en bocage.
Au delà de la logique classique de l’annuaire des sites de la zone géographique concernée, le site propose de nombreux services issus du web d’aujourd’hui ou du Web 2.0 :
Un wikipedia géolocalisé
Une plateforme de blogs
Une plate-forme gratuite pour les petites annonces
Mais l’intérêt d’un portail qui permet à chacun de libérer son expression sur un territoire donné, c’est l’utilisation des fils RSS. Chaque site peut en effet proposer de publier son feed sur le site (si celui-ci est cohérent avec le territoire géographique défini) et chaque utilisateur peut agréger d’un clic toutes les informations qui concerne sa commune.
A l’heure où seulement 10% des internautes savent ce que sont et utilisent les fils RSS, il faut saluer l’effort d’un territoire qui montre son dynamisme dans le domaine des nouvelles technologies.
L’utilisation des fils RSS n’est qu’une question de comprehension, lorsque vous avez compris, vous ne pouvez plus vous en passer. C’est peut être ce qu’il manque aujourd”hui à ce portail (un contenu didactique) mais je n’ai pas de doute sur le fait que cela viendra bientôt. Comme toute idée, elle est perfectible, mais la capacité d’expression libre que ce site propose devrait permettre au concept original de s’affiner et de trouver rapidement sa place.
A voir, surtout si cette région du nord Deux-Sèvres vous concerne : www.enbocage.com
Je vous avais parlé d’une initiative intéressante menée par le pays du bocage Bressuirais nommée campagnes 2.0. Ce colloque destiné aux collectivités locales et aux entreprises sur les enjeux de l’Internet d’aujourd’hui propose un programme très alléchant avec des acteurs qui dépassent largement le cadre local (voir le programme sur le site).
La problématique du web 2.0 n’est en effet pas réservée aux seules sphères ultra-urbaines et chaque entreprise, quelle que soit sa taille peut profiter des opportunités de l’Internet d’aujourd’hui. Dans cet esprit, j’interviendrai pour animer une “webschool” dédiée à la veille et à l’identité numérique le mardi et le mercredi.
L’accès est gratuit et ouvert à tous, venez nombreux
Le snippet est la description de la page (sur deux lignes) présentée dans les résultats de Google. Les études montrent qu’elle influe largement sur le choix d’un internaute dans une liste. Mieux vaut donc soigner cette description pour chaque page de votre site.
D’où vient le snippet ?
Matt Cutts (ingénieur Research Google) nous l’explique dans cette vidéo en anglais. Pour simplifier et apporter une réponse rapide, le snippet est dynamiquement produit par Google pour chacune de vos pages indexée afin de proposer une résumé pertinent du contenu de votre page par rapport au mot-clé saisi par l’internaute.
Google produit cette description à partir du META description de la page concernée ou, si celle-ci n’est pas adéquate, par une partie du texte contenu dans la page. Google peut également s’appuyer sur la description que vous aurez saisi lors de l’enregistrement de votre site dans l’Open Directory (www.dmoz.org).
Attention, le snippet proposé par Google dépend avant tout de la pertinence, soignez vos descriptions et faites les correspondre avec le titre et le contenu de la page…
Pour tester, je viens d’installer le nouveau gadget de Google concernant la traduction automatique de site (voir dans le bandeau de droite). il vous suffit de sélectionner la langue et le site (ou la page) est automatiquement traduit.
Mon temps disponible ne me permet pas de bloguer dans les deux langues, alors je vais tester cette solution. Bien sûr qui dit “traduction automatique” dit approximation mais je voudrais voir si, pour les anglophones ou les bilingues qui me visitent, cet gadget revêt quand même une utilité. Vaut-il moins que rien ?
Alors testez, n’hésitez pas, idéalement faites le tester par des anglophones et commentez. Ah oui, c’est aussi disponible en allemand… ; )
Belle stratégie de communication virale de la Chose (agence de marketing viral) autour du cri romantique d’un certain Paul vers Emma : “Emma, je t’aime, reviens”.
Si l’idée est basée sur une histoire aux résonnances personnelles, c’est bien sûr une marque qui est derrière tout ça et derrière le blog : www.emmajetaime.com, preuves en sont les moyens utilisés et la juste utilisation de différents médias (presse, radio, télévision, web…). Une nouvelle illustration que le développement de l’audience peut s’appuyer sur un grand nombre de leviers (25 leviers selon Promote). Rappel des faits sur le JDD.
Je le surveillais depuis quelques temps du coin de l’oeil et il est finalement sorti. Je parle du livre sur le “pourquoi bloguer” co-écrit par 10 auteurs canadiens (Merci Michael pour le coup d’accélérateur). 10 auteurs donc et non des moindres puisque Claude Malaison (le responsable éditorial du projet) a réuni un joli parterre d’experts chacun dans leur domaine et ayant tous la passion de l’écriture (Michel Leblanc, Mario Asselin, Martin Lessard, etc…(ils sont 10, la liste complète est sur le site du livre)).
Le livre est récemment sorti donc et je me suis empressé de la commander. L’Atlantique a été traversé en quelques jours et j’ai reçu mon exemplaire.
Apparté : J’aurai préféré que l’enveloppe de transport soit plus solide (elle est arrivée déchirée et le livre légèrement abîmé), j’aime les livres et je porte un grand soin à ceux que j’achète, je peste donc lorsque l’un d’eux m’arrive déjà abîmé (même un peu). Pas de panique, cela arrive au meilleur (Y compris Amazon pour l’un des bouquins commandé ce week end et livré aujourd’hui).
Je me suis donc attaqué ce week end à sa lecture et elle serait déjà terminée si je n’avais eu d’autres obligations. Mon premier abord est que le vocabulaire toujours si délicieusement précis de mes amis québecois reste assez technique et le livre s’adresse a priori à des utilisateurs sinon avertis du moins informés. J’espère pouvoir revenir bientôt sur cette première impression une fois ma lecture terminée puisque j’avais dans l’idée de me servir de ce livre pour “déniaiser” quelques un de mes clients sur le sujet.
A lire sur les bonnes fréquentations l’article d’Eric Leblond sur l’usage du “scrolling” dans une page web. L’article est notamment intéressant par les retours d’expérience exprimés sur le fait qu’une page ne doit pas forcément faire tenir tout son contenu au-dessus de la ligne de flottaison du navigateur (c’est à dire la partie visible sans utiliser l’ascenseur du navigateur).
Dans la continuité des articles mettant en doute la valorisation et la perennité de facebook (ici et là), je vous invite à lire l’analyse de Fred Cavazza. Je suis d’accord avec lui, pas vous ?
Dans son article sur le blogue du marketing interactif, Aurélie Ponton exprime avec justesse les risques inhérents à la réputation numérique. Le développement des réseaux sociaux comme Facebook et l’avènement de la parole libre via les blogs font du web une source documentaire de votre identité.
Vos participations à des forums, votre blog bien sûr, vos images partagées sur Flickr, vos vidéos sur Youtube ou DailyMotion mais aussi ce que d’autres disent de vous sont autant de traces de votre identité et de votre réputation. Votre patron actuel ou votre futur employeur sera-t-il rassuré ou au contraire inquiété par ce qu’il trouvera sur vous sur le web ? A l’heure où le “webscan” de votre profil devient courant chez les responsables de ressources humaines et futurs employeurs, vous êtes-vous posé la question de la qualité de votre réputation numérique ?
A lire un article intéressant de Martin Lessard sur les grandes phases qui ont marqué l’Internet des militaires jusqu’aux internautes accros au Web 2.0.
Si je le rejoins sur ses 6 étapes de l’Internet, je reste convaincu de la révolution que représente le web 2.0 et qu’il y a donc deux histoires majeures : celle de la communication unilatérale “centrée sur l’offre” et celle, nouvelle, de l’échange “centrée sur les attentes”. A lire dans les commentaires de son blog…
Google a lancé il y a quelques jours un an environ Google Custom Search Engine (CSE), pour l’instant uniquement disponible en anglais, cette application vous permet de créer un moteur de recherche personnalisé. Imaginez en effet que vous puissiez créer un clone de Google sur votre site en choisissant les sites web qui feront partie des réponses. Lisez la suite »
) pour le secteur du tourisme et notamment les chambres et gîtes d’hôtes.
