Entendu ce matin sur Europe 1 : le magazine américain Newsweek a classé les 100 entreprises européennes les plus florissantes et surprise, la première place est occupée par une française (Asystems). Voilà qui bouscule les idées reçues d’une France qui se traîne derrière l’entreprenariat mondial, un bon exemple à suivre…

Le rapprochement de Google et Sun a fait frémir les internautes en général et les blogueurs en particulier, la puissance du moteur qui a le vent en poupe s’allie donc à l’alternative représentée depuis toujours par celui qui se dit être le “point” de “point com”. Cela fleurait bon l’offensive anti-microsoft et les commentaires allèrent bon train. Pour certains cela annonce la future alternative à Office, pour d’autres l’avènement du network computer.

Rappelons que Google et Sun n’ont annoncé qu’un partenariat de promotion croisée. Pourtant, …

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Je viens de découvrir via Jean François Legat le blog d’Emmanuelle, chef de projet interactive en recherche de poste. Je lui poste tous mes encouragements et si nous ne venions pas (la semaine dernière) de sélectionner un candidat en tant que chef de projet, je l’aurais sans doute contacté pour l’agence Web, j’aime bien sa démarche et son écriture.

Ecrire, partager, bloguer, c’est la mécanique agréable du blogueur assidu ! Je ne me considère pourtant pas comme un blogueur maniaque (au mieux un post par jour et pas tous les jours) mais je dois avouer avoir perdu de vue l’idée que tout le monde ne connaît pas les blogs…

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L’audience, l’audience, l’audience…

Vertus de l’éducation, les entreprises ont aujourd’hui conscience que la réalisation d’un site Web ne suffit pas et que sans promotion interactive et référencement, il ne s’agit que d’une perte de temps et d’argent. Mieux encore, ces problématiques s’intègrent désormais en amont de la réalisation du site et définissent la conception éditoriale. Pourtant, vous allez dire que je ne suis jamais satisfait mais tant pis, les entrepreneurs confondent encore les notions d’audience et d’audience utile.

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Voilà un titre bien enigmatique pour un blog qui se concentre sur les stratégies du Web (stratégies, conception, référencement). Mais vous comprendrez vite le sujet de mon propos. César ou Napoléon sont des personnages qui sont souvent présents dans mon discours commercial. Comment ? Simplement parce que mes clients n’ont pas les moyens financiers des multinationales ou lorsqu’ils les ont, n’ont pas envie de les gaspiller.

Allez, je lève le voile…

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Puisqu’on ne cesse de vous dire qu’un message doit être personnalisé ! Retrouvez l’excellent exemple d’Ikea pour le lancement de son magasin à Saint Etienne (France) sur le site de Jean François Legat.

Je relis “les nouveaux marchands du Net” de Philipp Gerbert, Philippe Kaas et Dirk Schneider, un livre sur le e-commerce publié en 2000. Bien sûr depuis, la bulle Internet s’est dégonflée et le Web a profondemment évolué. Mais l’un des chapitres reste toutefois d’actualité : Les 4 étapes clé d’un parcours réussi.

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Il est important voire primordial d’utiliser les attributs ALT et TITLE dans les balises IMG ou A. A lire un post intéressant sur l’optimisation des textes de ces liens, ils seraient limités pour Google aux 8 premiers caractères mots. A lire sur WebrankInfo

Les concepts du permission marketing en opposition à l’interruption font leur chemin jusque dans les agence interactives parisiennes, y compris celles spécialisées en Rich Media (animations, vidéos…). A lire, l’interwiev de Charles-Emmanuel Doxuan, directeur associé chez Novacom (journaldunet.com).

Bien sûr la permission n’est pas encore une étape très éprouvée dans ce discours mais il met cependant en avant la conscience que l’interruption atteint ses limites et que la communication et la publicité sur le Web doivent trouver de nouveaux formats.

J’écoutais Europe 1 ce midi dans ma voiture, Laurent Cabrol interviewait le président de l’association nationale des agences de voyages. L’animateur voulait à toute force faire dire à son interlocuteur que l’Internet menaçait les entreprises de voyage (en concurrent quasi déloyal), lui coupant la parole et abrégeant la discussion dès lors qu’il n’obtint pas satisfaction. Le président interrogé argumentait cependant pour exprimer son intérêt d’un Internet qui offrait une information différente et complémentaire à un interlocuteur d’agence.

Après cet épisode radiophonique peu glorieux à mon sens pour les vertus journalistiques, je me suis remémoré les nombreux articles de presse ou sujets de télévision lus et vus à propos de l’Internet et du Web. Force est malheureusement de constater que les journalistes traditionnels sont tant obnubilés par le sensationnel et le spectaculaire qu’ils en oublient ce qui me semble être le fondement de leur profession : l’objectivité.

Je ne parle évidemment pas des “nouveaux journalistes” qui existent sur le Web ou ont simplement su s’adapter à ce média mais de tous les autres. A les entendre, l’Internet est un repaire de téléchargeurs pirates, de virus, de pédophiles. Faut-il que le bébé soit bien né pour résister et grandir tout de même face à la vindict du quatrième pouvoir. Encore une fois (voir le billet précédent), l’Internet est un média, un véhicule aux idées et aux échanges, il n’a pas d’existence sans ceux qui le font vivre, pas de corps sans le contenu des éditeurs, pourquoi vouloir en faire un épouvantail ?

je crois que l’Internet permet tellement à chacun de s’exprimer qu’il fait trembler les tours d’ivoire que les médias traditionnels de masse comme la télévision ont su ériger sur le peuple : les téléspectateurs. La vox populi ferait-elle s’ébranler le pouvoir des puissants, l’Internet serait-il le forum citoyen dont rêvait Rome en son temps ? Puisqu’il n’a pas de tête, l’Internet n’a pas de chefs, sa force, militaire à l’origine, devient démocratique. Non pas ensemble mais chacun, construisons ce média d’aujourd’hui et de demain.

Vous me pardonnerez cette envolée quasi lyrique, mais j’avais envie de redire combien le libre arbitre et la liberté d’expression qu’offre l’Internet sont des valeurs auxquelles je tiens et combien les jugements aveugles m’énervent.

“Les barons s’entredéchirent”, c’est la phrase que j’ai retenu des slides du Darkplanneur après avoir lu le billet sur shoob. La question qui semble se poser aujourd’hui est : quel pouvoir ont les blogs, quelle hiérarchie, etc…

Je ne suis finalement pas étonné que les concepts habituels de pouvoir se retrouvent autour des blogs, leur exposition médiatique accélerant le processus. Ma réponse est simple : on s’en fout un peu non ?

Personnellement, j’ai quitté l’univers de la télé (média roi ?) parce qu’un bonne idée n’y valait rien tant que “Dieu” (le directeur des programmes) ne l’avait pas décidé ainsi. J’ai découvert l’Internet à ce moment là (1996) avec la conviction qu’il serait non pas un média majeur (bien sûr c’en est un mais cela n’a pas d’importance) mais un média libre où les contenus détiendrait le pouvoir de l’audience.

Les blogs ne sont rien d’autre qu’un formidable outil d’expression et de discussions (pour reprendre les termes de Bloic). pourquoi vouloir à tout prix lui conférer une valeur de média alors que seul le contenu est important, un blog techniquement parfait et avec un beau design est-il plus valable qu’un blog intéressant ? Un blog est-il supérieur à une émission de télé ?

Il me semble que ceux qui s’excitent autour de cette question tente d’exister grâce au média en lui-même au lieu d’exister pour ce qu’il ont à partager. Pour moi, un média n’en tue pas un autre. Et vous ?

J’étais ce matin au palais des congrès de Nantes pour le Roadshow Studio 8 de Macromedia. Pour une agence interactive comme L’agence Web, la suite Dreamweaver, Fireworks et Flash sont des outils importants. Je ne suis pas déçu des fonctionnalités de la version 8, la version US est disponible depuis le 15 septembre et la version française le sera à partir du 27 septembre. Si les conceptions CSS ne sont pas encore totalement intégrées en création, de nombreux efforts ont été réalisés pour leur gestion.

L’intégration des flux RSS/XML est également l’une des nouveautés importantes avec la vidéo directement installée dans la page. Notons également le zoom, le coller spécial, les rapports de code, l’organisation automatique du code…

Bref, l’agence va passer à Studio 8. Juste une anecdote pour terminer, l’acquisition de Macromedia par Adobe permet aux démonstrateurs de parler librement de Photoshop… : )

Si vous n’allez pas voir les roadshow de Macromedia, vous perdez quelque chose, au delà des softs, je parle des intervenants, ils sont sympas, je les aime bien.

Je pense que je risque de me faire des ennemis avec le thème de ce post. Référenceurs professionnels ? La question se pose puisqu’un client me l’a posé. Ce client vient en effet de payer plusieurs milliers d’euros pour être présent dans les premiers résultats sur 20 mots-clés. C’est ma surprise en lisant les mots-clés en question qui a suscité sa curiosité. Certains mots n’avait pas grand chose à voir avec le contenu du site ou étaient trop généraux pour apporter une véritable réponse à l’internaute effectuant une recherche.

Je pose la question : comment travaille un référenceur professionnel qui n’agit pas sur le contenu ou la conception éditoriale du site ?

Mes croyances fondamentales dans le domaine du référencement est que le contenu est roi (et il sera dur de me faire changer d’avis). “content is king”, c’est concevoir un contenu et son arborescence en fonction des critères d’un moteur de recherche, c’est à dire proposer un contenu pertinent et actualisé (éventuellement populaire en plus).

A l’heure où les moteurs de recherche “blacklist” les sites Web qui usent et abusent d’astuces pour être référencé, quelle logique professionnelle peut soutenir une méthode de travail de “contournement”. Car à mon sens seul le contenu d’un site Web peut permettre son référencement naturel.

C’est pourquoi je crois en l’avenir des agences interactives (l’agence Web) et de conseil éditorial (Adverbe par exemple) et dans les difficultés annoncées des “référenceurs professionnels”.

J’ai commencé ma carrière interactive il y a 10 ans en faisant le pari avec les entreprises qu’à terme, elles en sauraient plus se passer de l’e-mail ; j’aime à parier aujourd’hui dans la prochaine conscience des entrepreneurs et responsables de communication pour le choix de leur partenaire.

Un article très intéressant écrit par Sébastien Billard sur la densité des mots-clés, à lire pour rejoindre la pensée que le référencement tient à la qualité (éditoriale et technique) du contenu. Envisager autrement la densité des mots-clés