J’ai enfin pu rattraper un peu du retard que j’avais consenti à mon lecteur de fils RSS, j’en retire 3 liens et informations intéressantes à partager avec ceux qui ne l’aurait pas vu.

Google Analytics migre vers sa version 2 et offrira à tous (et toujours gratuitement) de nouvelles fonctionnalités encore plus performantes pour l’analyse des statistiques de sites. A voir sur le blog officiel de Google Analytics. J’en reparlerai prochainement avec un retour d’expérience.

Des outils SEO sur le blog d’Outil-referencement, une bonne synthèe de quelques outils pour le Search marketing.

Un nouveau classement des top blogs français via Alianzo.

Sony Ericsson lance son smartphone P1, le successeur du P990i, pour les pros, ça fait envie…

J’ai craqué il y a quelques jours et j’ai refait le plein de livres, ils sont tous plus passionnants les uns que les autres, si vous cherchez de la lecture “intelligente”, je vous conseille la liste des 7 que j’ai en cours :

Google Analytics expliqué et détaillé dans ses moindres recoins, un must !
Google Analytics de Mary Tyler et jerri Ledford (US)

Tous les marketeurs sont des menteurs de Seth Godin (FR)

A dévorer !
Rules for Revolutionaries de Guy Kawasaki (US)

Selling the Dreamde Guy Kawasaki (US)

33 interviews à la fois poignantes et pleines d’enseignement (sagesse et aspirations de gens remarquables), un livre surprenant et sur prenant.
Hindsights de Guy Kawasaki (US)

La référence.
Call to action de Bryan et Jeffrey Eisenberg (US)

Mention spéciale pour le livre dédié aux évangélistes, il est incroyable !
Creating customer evangelists de Ben Mc Connell et Jackie Huba (US)

Les avez-vous lu ? Quels commentaires ?

On m’a demandé les sites que je suivais dans le domaine des analyses statistiques, voilà la liste avec une majorité de liens tournés vers Google Analytics.
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Le web va tellement vite qu’il faut beaucoup de temps pour compiler et assimiler les informations sur son évolution. Je me suis rendu compte que j’avais publié beaucoup sur le sujet du référencement dernièrement. Je vous livre donc mon “Top 10 de ce qui m’a animé (en avril) concernant le référencement”. Pas de grandes révélations mais une synthèse utile pour moi et que je partage avec vous.
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Pour tous ceux qui comme moi pensent que l’analyse des statistiques d’un site web est un élément majeur de la réussite de celui-ci, je vous conseille l’utilisation de Google Analytics. Le service n’est pas nouveau et Google a connu finalement un tel succès sur son offre (gratuite) d’outil de stats qu’il a un temps été limité à quelques privilégiés.

En effet, au moment de son lancement, Google Analytics a enregistré 250 000 inscriptions en 2 heures. Ce qui a obligé Google à limiter son utilisation. Désormais totalement ouvert et toujours gratuit, l’outil se révèle agréable et très performant. Je pense que j’en reparlerai souvent tant cette dimension prend une place de plus en plus importante dans la relation client.

En attendant, je vous invite (pour ceux qui ne connaissent pas l’outil) à visionner la vidéo démo de Web analytique. Pour ceux qui l’utilisent déjà, je vous recommande l’achat et la lecture de “Google Analytics” de Mary Tyle et Jerri Ledford. Je l’ai lu ce week end et il permet vraiment d’aller plus loin, beaucoup plus loin avec Google Analytics.

Billet atypique, je laisse de côté ma raison pour partager avec vous un sentiment croissant. J’en discutais la semaine passée avec l’un de mes camarades de jeu à l’agence suite à un rendez-vous client : la part croissante de l’instinct dans les affaires.
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SEOMOZ, une excellente ressource en ligne sur le Search Engine Optimization (comme son nom l’indique) a mis à jour son classement des critères les plus importants pour le positionnement dans Google (merci à Stéphane Degor du blog emarketing pour l’info). Ce classement résulte d’une étude réalisée auprès de 36 experts le “Search Engine Ranking Factor’s Guide”. Je vous en livre une traduction…
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Lors de l’écriture de Promote, j’ai souvent été frustré de ne pas pouvoir écrire ou taper aussi vite que je pensais. Les nombreuses relectures m’ont permis de remanier certains passages dont la compréhension ne reflétait pas justement mon idée. Pourtant, Damien Kazhar, éditeur francophone pour Dmoz m’a fait part d’une remarque qui justifiait ce billet, je vous le livre tel quel.

Je désire vous faire une petite remarque dans votre livre Promote qui est, malgré celà très intéréssant.

A la page 47, vous dites :

“Attention cependant à ne pas négliger les balises meta comme la description. Son contenu est parfois utilisé par les moteurs de recherche pour décrire la page proposée en résultat de recherche (c’est le cas de Google ou dmoz)”

Deux choses donc
Tout d’abord, dmoz n’est absolument pas un moteur de recherche. Il s’agit du plus grand annuaire du web, maintenu par une communauté de bénévoles (plus de 7 000 actifs).
La différence est conséquente. Nous classons les sites par catégorie, pas par mots clés. Et surtout, les sites sont sélectionnés en fonction de la présence de contenu de qualité ou non.

La seconde chose, c’est la balise meta. Dmoz n’utilise absolument pas les balises meta, ni dans les titres, ni dans les descriptions. Nous avons des directives d’édition assez strictes à ce niveau. Elles sont disponibles ici :http://dmoz.org/World/Fran%c3%a7ais/guidelines/describing.html
Nous rédigeons nous même tous les titres et toutes les descriptions.

De plus, au passage, Google n’utilise pas toujours la description de la balise meta. Il utilise également régulièrement un résumé automatique du contenu de la page, ou même, la description faite pour la page dans l’annuaire dmoz.

Merci donc à Damien d’avoir apporté ces précisions et approfondi ma pensée initiale.

Les mots-clés d’un site web

Il est très important de définir les mots-clés sur lesquels vous souhaitez développer votre présence sur l’Internet. Cela permet de définir des objectifs précis et crée un guide pour la création des pages.

Les mots-clés sont à classer dans 3 grandes catégories : on les appelle des « sphères sémantiques » : identité, produits et services, attentes des internautes. Chaque sphère permet de répondre à un comportement particulier et à des internautes différents.
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Depuis mars 2001 et l’ouverture de mon premier blog, j’ai testé plusieurs plate-formes (B2, Dotclear, Wordpress) et utilisé une bonne demie-douzaine de design différents. Amomenti change donc (encore) de peau pour deux raisons : la première c’est que rien ne s’y oppose et que c’est agréable et la seconde raison (plus stratégique) est que si le design n’est sans doute pas l’élément majeur d’un blog, il traduit cependant une atmosphère et fournit une première impression aux internautes.

Design -1

Or, le précédent design (orange) de ce blog s’orientait vers une ergonomie originale (seul le billet le plus récent paraissait en page d’accueil), des couleurs tranchées. Si nous nous étions attachés à produire une expérience utilisateur originale mais néanmoins intéressante, elle n’en restait pas moins empreinte du sujet “design” ou “conception web”. Loin de moi l’idée de dénigrer ce style, je trouve même que les navigations originales sont d’excellents reflets de contenus pour les webdesigners (voir par exemple le blog de 20syl). Je reviens donc en arrière avec un design traditionnel plus proche de celui qui était le mien auparavant.

Design -2

Pour ce nouvel habillage, l’inspiration est forte et revendiquée autour des blogs de deux experts : Guy Kawasaki et Eric Peterson. Pourquoi ? Simplement parce que j’aime leur discours et leur façon de le présenter. J’ai donc voulu un design de blog qui reflète la dimension “réflexion” de certains de mes billets, une orientation vers la sobriété graphique et le sérieux.

Ai-je eu raison ? Vous quelle expérience ?

Weborama lance son service de publicité dynamique avec détection de contenus. On pourrait croire que cela va concurrencer le système Adsense de Google mais l’innovation de Weborama consiste à intégrer ces liens contextuels à l’intérieur même de votre contenu.

Concrètement, cela signifie que si vous êtes abonné à ce service et que vous publiez un billet contenant le mot “piscine” par exemple. Votre simple mot deviendrait un lien vers un site web ayant acheté le mot “piscine”. Si l’innovation peut paraître intéressante en soi et que le taux de revenu pour l’éditeur est alléchant (50%), je reste sceptique quant à l’intrusion que cela produirait sur les messages. Un peu interruptif, non ?

Je vous en ai déjà parlé, le quotidien La Tribune a rénové son site web et propose désormais des fonctionnalités CSS, des newsletters thématiques. Je teste depuis quelques jours et je dois avouer que j’ai changé d’idée : La Tribune c’est cool. Et particulièrement le “Morning briefing”, une synthèse des faits marquants de la journée dans un email (voir capture d’écran). Je regrette simplement que cet email n’arrive qu’à 9 h00, j’ai déjà largement commencé ma journée moi !

“Management” relate en avril une forte relance des recrutements avec en tête les spécialistes du web, un temps bannis des cabinets RH après l’éclatement de la bulle Internet. Mais ces spécialistes revêtent de multiples formes et de multiples noms. Ce qui m’a amené à me poser la question de l’appellation exacte de mon métier.

En réalité, le nom de ma fonction varie selon l’interlocuteur :

Manager, responsable d’entreprise > Spécialiste Internet
Responsable de communication B2B (pme) > Directeur conseil en médias interactifs
Responsable de communication B2C (marques) > Webplanner stratégique
Régies, médias > SEMSEO expert
Responsable informatique > Directeur de projet Systèmes d’information
Managers, investisseurs > Web évangéliste & coach
Blogueur > Blogueur

Je ne sais pas finalement ce qui me définit le mieux. Et vous ? Vous êtes quoi ?

L’email a sans conteste révolutionné nos échanges avec les autres. Tout comme le téléphone portable, la messagerie électronique nous a précipité dans l’urgence de l’information. Mais cette rapidité associée à la facilité (et la gratuité) de ce mode de communication devient un formidable risque de désorganisation. A la lecture de blogs ou d’ouvrages comme “l’art de se lancer” de Guy Kawasaki, je retire quelques bonnes pratiques de l’email (le top 5+) pour retrouver un bon usage.

1. N’utilisez pas l’email pour ce qui doit être échangé de vive voix (au plus, envoyez un email pour fixer un RDV en énonçant le sujet).

2. N’envoyez vos emails qu’à un seul interlocuteur (celui responsable de l’action à venir) pour éviter que chacun pense qu’un autre va s’en charger.

3. Utilisez les CC et CCi pour tenir informé les collaborateurs concernés par le projet mais non responsables de l’action ou initiative à venir.

4. Répondez à vos interlocuteurs rapidement pour confirmer la prise en compte de leur message.

5. Utilisez les fonctionnalités de votre outil de messagerie (filtres, redirections vers des dossiers spécifiques, mises en couleurs).

Règle d’or : relisez vos emails avant de les envoyer (orthographe, ton, sens de vos emails).

D’autres idées ?

Décidemment, le Quebec est une bonne étoile pour moi. Merci à Geoffroi Garon du Blogue Marketing Interactif pour son billet et son commentaire sur Promote. Au passage, c’est une excellente occasion de découvrir ce blogue collaboratif que je ne connaissais pas.

Merci également à Olivier Andrieu qui place “Promote” dans les livres utiles dans le domaine du référencement sur le blog d’Abondance. J’espère pouvoir vous livrer bientôt sur ce blog son impression personnelle sur le livre. Le blog d’Abondance vous donne également d’excellentes adresses d’e-books consacrés plus spécifiquement aux moteurs de recherche.