Quelques liens suivis ce matin et intéressants à partager :

Les 5 questions à se poser avant d’embaucher un community manager dans son entreprise. On en a déjà vu plusieurs mais il est toujours intéressant de se remémorer quelques bases fondamentales.
Les 10 clés à respecter pour un bon site web

Pour les inscrits Viadeo, un bon billet également dans le Hub “E-commerce et Web-marketing” sur un résultat d’étude d’utilisabilité sur 7 sites e-commerce dans le textile. Quelques notions intéressantes qui montrent notamment la difficulté de trouver un juste équilibre entre merchandising et animation commerciale d’un côté et ergonomie et trouvabilité de l’autre.

Emmanuel Vivier de Vanksen a réalisé un joli travail de perspective sur l’évolution du marketing en 2010. Si cette vision personnelle reste subjective et fortement tournée vers le 2.0 et les réseaux sociaux, il convient toutefois d’aborder la réflexion d’Emmanuel comme une base crédible quant à deux points du marketing de 2010 :

- les budgets de communication IRL migrent de plus en plus vers l’Internet
- L’Internet s’appuie de plus en plus sur les réseaux sociaux comme point d’ancrage des communautés.

Mon plus :

Le web rassemble des milliards de pages, chaque contenu est hyper-concurrencé. Preuve en est l’énergie déployée par les marques et les entreprises pour atteindre les premiers résultats de Google en référencement naturel, l’évolution des prix Adwords, la part des budgets web consacrés à la promotion interactive.

Dans ce vaste brouhaha permanent, la question de la crédibilité des contenus se pose et les internautes finalement se rassemblent en communautés derrière certaines marques ou blogueurs ou personnalités du web référentes. Les réseaux sociaux, Facebook en tête créent des carrefours visibles pour tout un chacun, ces points “magnétiques” (dans le sens de capacité d’attraction) deviennent incontournables pour les marques qui souhaitent toucher une communauté particulière qu’elle soit thématique ou géographique.

Ce monde au delà du simple web “vitrine” de son entreprise montre l’essence même de l’Internet comme un lieu de relations. L’avènement du métier de “community manager” sur lequel j’accompagne notamment les étudiants de SciencesCom devient majeur. Cette évolution du marché et des budgets n’est pas une surprise pour tous ceux qui travaillent dans le web depuis longtemps, la promotion interactive est plus importante que le simple fait d’exister sur la toile. A quoi bon un site web s’il n’est pas visité par les internautes cibles.

Une excellente vidéo à voir sur webscene qui nous raconte le web depuis 1996 et jusqu’en 2050. Une vidéo bien faite pour une projection réaliste en 4′30.

Vous connaissez tous cette fameuse pâte à tartiner au chocolat et aux noisettes. Et bien le 2.0 c’est pareil pour moi. C’est très bon de s’y plonger même si on sait qu’à un moment donné on en sera rassasié voire écoeuré et que peut être on laissera le pot dans le placard quelques temps.

En tout cas, moi, j’ai la main dans le pot actuellement (notamment sur le sujet toujours d’actualité de la réputation numérique).

Quand est-ce qu’une application web devient-elle une killer app ou autrement dit une “application remarquable” ? Simplement quand tous les autres médias en parlent. Cela a été le cas des blogs, de Facebook et de Twitter bien sûr depuis quelques semaines.

Alors faut-il succomber à la folie du “twitting” ? Quel intérêt ? Oui c’est rigolo sans doute quelques temps, mais quid des traces laissées par ces SMS publics sur votre réputation numérique ? Ne serez-vous pas réduit demain à la seule expression de ces messages courts aux yeux de vos collègues, amis, partenaires et clients, recruteurs ?

L’intérêt peut être grand si l’on est prêt à partager son quotidien et rompu aux techniques et risques de la communication spontanée, mais encore faut-il dissocier les twitts pros et persos. Facebook a généralisé l’étalage de la vie privée, Twitter rend la chose encore plus ludique. Qu’en sera-t-il lorsque la fête sera finie ? Faut-il se préparer à des lendemains en forme de “gueule de bois” ?

Que le temps file ! Et les jours s’accumulent sans avoir publié sur ce blog. Beaucoup de travail, de nouveaux projets, une vie de famille à vivre quand même un peu, voilà qui est fait pour les excuses attendues après plus d’un mois sans billets sur Amomenti.

Ces dernières semaines, j’ai eu l’occasion d’intervenir 2 jours à Sciencescom sur la thématique du web 2.0 et 1/2 journée au congrès régional des Lions Club de l’Ouest. Le résultat est assez surprenant puisque je m’imaginais que les étudiants de 20 à 25 ans de l’école de communication et qui sont quasiment nés avec l’Internet seraient bien plus au fait que les quinquagénaires des Lions Club. Je ne parle pas de techniques, ni même de connaissances mais de niveau d’appropriation de l’outil et de capacité à déceler les opportunités du média.

Et bien le résultat est là, même si les plus jeunes ont complètement l’habitude du web et de l’email, il n’en décèle pas pour autant les risques et les opportunités pour leur formation, leur démarche d’emploi, leur carrière future. A l’inverse, les professionnels en activité ou retraités, membres des Lions Club, ont du apprendre ce média et ont donc dù se poser la question de son intérêt. Ils y ont trouvé des réponses et utilisent l’Internet assez sciemment.

Sur le thèmes des réseaux sociaux comme Facebook par exemple, j’ai trouvé beaucoup plus de réactions pertinentes (enthousiastes ou critiques) du côté des “vieux” lions que chez les jeunes étudiants. Un bilan finalement logique mais qui bouscule mes a priori.

Alors les jeunes, on est dépassés ?

Les 16 et 17 mars prochains, je serai de retour à Sciencescom, l’école qui m’a formé à la communication et sans doute la meilleure expérience de ma vie d’étudiant par la qualité de son enseignement. Je retournerai donc dans mon école non pas en tant qu’étudiant mais en tant qu’intervenant auprès du bachelor éditeur de contenus médias (Bac+3).

Mon rôle durant ces deux jours sera de dresser un panorama compréhensible des enjeux du web 2.0 et de partager mon expérience. Je vous raconterai sans doute le résultat de mon intervention ici. D’ici là, je planche sur le contenu. J’ai la mémoire d’intervenants pertinents et passionnants lors de mes années d’études, j’espère bien être de ceux là : )

Facebook m’a apporté cette semaine une connexion intéressante, enfin un côté positif de Facebook devrai-je dire. J’ai en effet été contacté par Jean-François Ruiz pour le rejoindre sur le groupe webdeux.info (WEC), une communauté dédié à l’expertise web.

Je viens d’y lire une vidéo sur l’application “greasemonkey” pour faciliter et hiérarchiser les flux RSS selon leur importance. Je ne l’ai pas encore mis en place mais la vidéo était sympa et bien faite. Il reste que j’ai connu de nombreuses communautés de ce type qui après l’euphorie du début marquait le pas de leur intérêt. L’enjeu sera comme toujours la continuité. A suivre donc…

Avec l’avènement des nano-médias que sont les blogs et le développement des réseaux sociaux, le “off” a disparu du champ politique. Le “off” représentait ce qui pouvait se dire hors médias. Aujourd’hui que la moindre parole est relayée par des centaines de sites sur le web, nos hommes et femmes politiques doivent composer avec cette nouvelle omni-visibilité. Fini en effet de composer uniquement avec les grands médias, les principaux candidats de la dernière élection présidentielle française l’ont parfois appris douloureusement.

On peut dire beaucoup de choses sur les politiques en général, il faut cependant leur reconnaître une forte capacité à apprendre, en réalité et malheureusement, plus vite que bon nombre de décideurs d’entreprise.

L’internet en général et le web en particulier sont devenus de véritables armes pour qui sait les manier. Dans ce domaine, les français(es) sont encore de jeunes samouraïs, parfois malhabiles, il arrive même qu’ils se blessent en manipulant ce nouvel outil.

Comme pour tout art, il existe des “maîtres”. Sur le plan du web politique, l’exemple donné par Barack Obama est riche d’enseignements. Michael Carpentier, un “samouraï” du web dresse une excellente note sur son blog détaillant les techniques utilisées par les équipes du nouveau président américain. Le billet est complet et montre notamment que si le web est LA nouvelle arme politique, la maîtrise de ce nouvel art s’acquiert avec le temps et comme pour toute démarche marketing interactif (normale), une relation se construit avec implication et sincérité.

Merci Michael

Merci à Loïc pour cet article sur le “personnal branding“, une bonne synthèse qui rejoint si bien ce que je défends quotidiennement sur la réputation numérique.

Un article sur le web qui exprime bien les risques de la publication d’informations sur la toile, le côté obscur de la réputation numérique : édifiant ! http://www.le-tigre.net/Marc-L.html

Je ne suis pas un polémiste par nature, j’irai même jusqu’à me considérer comme consensuel. Il n’est donc pas dans mes habitudes de critiquer. Mais là, je sors un peu de ma réserve tant l’actualité m’inquiète.

Frédéric Lefebvre, député UMP semble préssenti (vous noterez le conditionnel) pour prendre la charge dans le gouvernement français de l’économie numérique. Or ses récentes déclarations et sa vision de l’Internet montrent une méconnaissance grave de ce média. A l’heure où le monde politique mondial commence tout juste à comprendre le fonctionnement et les enjeux de cette révolution, la France pourrait tomber dans un obscurantisme préjudiciable.

Entendez-moi bien, il ne s’agit ici nullement de “taper” sur quelqu’un (que par ailleurs, je ne connais pas) ou encore moins un camp politique plutôt qu’un autre. D’ailleurs, en France, peu nombreux sont les politiques (de tous bords) qui comprennent le web. Mieux encore, je me mets à la disposition de Frédéric Lefebvre et des hommes et femmes politiques en général pour en discuter.

Loïc Le Meur, notre évangéliste national du web (entrepreneur, blogueur, fondateur de l’évènement LeWeb) autrefois proche de Nicolas Sarkozy n’aurait-il plus l’envie de se battre pour son pays natal ? Loïc, ton influence serait sans doute intéressante à ce moment de la réflexion, tu passes un coup de fil à Nicolas ?

Par erreur, par hasard, je viens de saisir la requête “www” dans Google. Amusant, essayez…

Les réponses dans l’ordre : Yahoo, W3C, Wikipedia, MySpace, CNN, National Geographic, Friendster, Microsoft, Nasa, MSN…

Un reportage de Grégory Magne et Stéphane Viard pour la chaine 13ème rue à voir si le pouvoir du net vous intéresse : buzz et réputation numérique sont quelques uns des thèmes phares. A voir absolument : Pris dans la toile

Merci à 20syl pour le lien

La réputation numérique devient un sujet “chaud” dans les médias, j’ai été interviewé par une journaliste du Monde sur le sujet, son article est là.

Lisez également l’article “source” du sujet et qui résume l’importance de la réputation numérique : Google me I’m famous ! (en français)