A voir les publicités actuelles, on peut penser que les entreprises et les marques ont compris l’intérêt et l’enjeu de l’appropriation naturelle. La bonne utilisation des noms de domaine permet de créer une mémorisation et d’induire un bénéfice direct séduisant pour l’internaute. C’est le cas de voituremoinschere.com ou de solution-chauffage.com par exemple.

Ce constat est tellement en phase avec l’écriture de mon livre sur la promotion interactive que je peux m’empêcher de vous en livrer un court extrait gratuit, ça me fait plaisir, c’est cadeau ! ; )

L’appropriation naturelle, un levier de promotion interactive

Note a posteriori : lisez les commentaires, le débat se poursuit et complète le propos, merci à ceux qui y participent.

N’hésitez pas à réagir, commenter et lier.

C’est vrai ça, on en parle, on le met à toutes les sauces mais combien sont réellement en mesure de proposer une définition claire de ce que représente le web 2.0 ?

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J’ai profité de l’été pour lire et relire “La vache pourpre” de Seth Godin (encore lui me direz-vous). J’en retiens de nombreuses évidences et du bon sens indéniable tout en remerciant l’auteur de me les avoir exprimé si simplement. Mais j’en retiens surtout que pour être remarquable (qu’il s’agisse d’une marque ou d’un produit), il ne faut pas avoir peur de l’échec. Les choix raisonnables sont les plus risqués puisqu’ils s’inscrivent dans une démarche que tout le monde connaît et dont beaucoup se méfient.

Il faut donc risquer et pour ce faire accepter l’éventualité de l’échec. J’ai passé l’âge d’avoir une admiration béate et inconditionnelle pour la culture américaine mais je leur reconnais cette valeur quasi-inconnue en France : “l’échec est un pas vers l’avant”. Merci à mon premier mentor professionnel (sa phrase préférée était : “tous les non te rapprochent d’un oui”), j’ai commencé à travailler dans cette culture et mon parcours s’est enrichi d’erreurs ou d’échecs. Le plus important est que j’ai su en tirer les leçons et que cela m’a permis d’avancer.

En France, l’échec est synonyme de faiblesse voire de honte, les entreprises, les institutions, les banques voient d’un mauvais oeil les accrocs d’un parcours professionnel. Tout cela concourre à une frilosité générale où la peur de l’échec gèle les idées, freine les innovations et stoppe les envies alors même que ce sont les seuls moteurs qui permettent les réussites.

Lancez le même produit de votre concurrent, ne prenez pas de risque et vous serez perdant à coup sûr. Regardez les marques qui ont réussi sur Interbrand et il vous sera très facile de comprendre ce que chacune d’elle à de remarquable sur son marché. Et vous qu’avez-vous de remarquable ?

Jean Paul II s’est ainsi exprimé avant de mourir : “n’ayez pas peur”. Si je doute que le pape s’adressait aux entreprises, son message n’en est pas moins porteur. N’ayons pas peur ! Avançons, risquons, partageons, le web est cet outil formidable qui a redonné à chacun la possibilité d’exister. Chaque jour de nouvelles idées émergent, éclatent, il reste tant de territoires à découvrir.

Un billet inhabituel mais j’avais envie…

Seth Godin a sorti récemment son dernier livre : “Small is the new big”, une liste de bonnes idées, de produits et communications remarquables. En parlant de Seth Godin, je vous invite à télécharger et imprimer “What every good marketer knows list” sur le blog de Brandplay.

Mais “Small is the new big” me fait réflechir. Pour gagner de l’argent avec une idée, aujourd’hui deux possibilités s’offrent à vous : gagner beaucoup une fois ou gagner moins mais plus souvent. A l’heure des conso-acteurs, une nouvelle idée a bien du mal à percer si elle s’adresse à une population globale. Les moyens publicitaires nécessaires s’envolent alors, dégrèvant d’autant les marges bénéficiaires.

Et si la réussite résidait dans les petites idées ciblées sur quelques conso-acteurs, je ne parle pas de sur-mesure mais de l’exploitation d’une idée avec les moyens de promotion minimalistes qu’offrent l’Internet…

Qu’en pensez-vous ?

Il ne s’agit pas d’un affichage interactif mais d’une campagne d’affichage IRL qui, par son originalité se trouve relayée sur le Web et donc dans le monde entier. Qui a dit que les internautes n’aimaient pas la pub ? L’action se déroule à Chicago orchestrée par Leo Burnett pour… Mac Do.

Via et à voir sur Buzz Marketing

Un buzz éphémère mais efficace, il y a surenchère créative aussi en guerilla marketing !

Comme promis, voici le schéma dont je parle dans mon précédent billet. Il montre les étapes “marque” et “agence” vers la transformation (acte d’inscription, de contact ou d’achat de l’internaute) et donc le bénéfice attendu d’une stratégie Web.

Les outils de l’agence pour atteindre ces objectifs : l’idée, la conception d’un web de “valeur”, le plan stratégique de promotion interactive (ou Equalizer) et l’analyse statistique pour la mesure des résultats et le calcul du retour sur investissement (ROI).

Le schéma s’appuie sur les notions développées par Seth Godin d’idée virus et de permission marketing.

Votre avis ?

Quelques jours de repos pour réfléchir tranquillement et la lecture de “Marketing viral” de Seth Godin et voilà ce que j’adore : une conjonction ! Ce que j’appelle une conjonction c’est un ensemble d’idées qui infusent tranquillement dans mon cerveau depuis plusieurs jours ou plusieurs mois et qui s’assemblent tout à coup dans une vision claire, suffisamment claire pour me servir dans mes relations clients.

Je ne sais pas si c’est la part technicienne ou pédagogique de mon profil professionnel qui fait pencher mes idées vers des schémas, mais je trouve que rien ne vaut une image pour expliquer un concept à un client. C’est ainsi que son nés les concepts d’Equalizer (plan stratégique pour le développement d’audience dont je dévoilerai bientôt les secrets dans un livre en cours d’écriture) et l’image de l’athlète pour expliquer l’importance de l’expérience utilisateur.

Toujours est-il qu’un nouveau schéma vient rejoindre les autres. Je vous le livre bientôt sur ce blog…

je vous parlais dans le billet précédent de la e-convention de Nantes et notamment de l’intervention de Google France. Jean Neitner (directeur stratégie commerciale Google France) proposait dans sa présentation la vision de l’avenir de la publicité. 5 points :

Tarification - Tous les médias seront vendus aux enchères (j’ai hâte de voir la foire d’empoigne pour les spots TV, mais je suis prêt à y croire).

Efficacité - Toute donnée marketing sera mesurable (amen !)

Personnalisation - Le mass marketing sera remplacé par le one to one (vous pensez bien qu’en adepte du permission marketing, je n’ai pu m’empêcher de sourire)

Immersion - Les marques trouveront de nouveaux terrains pour s’intégrer dans la vie du consommateur (amen again !)

Démocratisation - Les formats digitaux facilitent l’accès (oui mais attention, la liberté ne doit pas se faire sans conscience des usages des consommateurs (voir ma récente intervention en colège), les marques doivent faire attention !).

A la question a été posée de l’exclusion des “petits budgets” par les “gros” à cause du système d’enchères, la réponse a été simple et là aussi, je crois assez à cette vérité : les petits sont plus réactifs et présents sur de plus petits marchés, plus localisés, des territoires que les “gros” ne peuvent attaquer efficacement.

Je trouve ce discours interessant, et vous ?

Une belle illustration de marketing viral avec de la vidéo et Flash : Amomenti est sur Hollywood Bld !

Merci emob.

Le mois de mai a donc été riche, je vais tenter de continuer sur cette lancée. En juin, je pense mettre en ligne un nouvel ebook. Il ne s’agira pas d’une synthèse “facile” mais un véritable guide sur le thème de l’élaboration d’une stratégie de promotion interactive.

Pour cela, j’ai notamment créé un schéma qui permet d’acquérir une visibilité immédiate des actions visant à développer les relations d’un site Web avec ses cibles mais aussi d’en assurer son suivi. De part sa forme, je l’ai appelé l’Equalizer.

Vous souhaitez développer l’audience de votre site Web ? Alors à bientôt sur www.amomenti.com

Web 2.0, quel est le futur des agences interactives, de l’offre Web en général, un long billet, réflexions, interrogations…

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Ipsos publie une étude consacrée aux usages de l’Internet et du Web chez les 15-24 ans et les plus de 24 ans. En substance, l’étude montre que si les plus jeunes y voient un espace d’échanges et privilégient les chats, blogs, messengers et forums, les plus anciens (+ de 24 ans) considèrent le média comme une source documentaire.

Pour les entreprises et les marques, cette étude est importante puisqu’elle montre que les internautes ont des attentes différentes selon la tranche d’âge à laquelle ils appartiennent. Il s’agit là d’une conséquence de l’appropriation naturelle, les 15-24 ans sont nés avec l’ordinateur, le portable (et les sms), l’Internet. Normal donc qu’ils se soient totalement appropriés le net comme un espace naturel. Ils sont d’ailleurs 44% à surfer plusieurs fois par jour.

Les + de 24 ans sont aussi assidus avec un pourcentage de 50% d’internautes se connectant plusieurs fois par jour, leur motivation est cependant différente : l’information ; là où les plus jeunes y trouvent l’échange et le partage.

Merci à Stéphane pour ce billet sur les meilleurs jours d’envoi d’email marketing à lire sur Emarketing Blog

Dans le monde de la publicité, les médias de masse conservent le leadership des investissements, la télévision et l’affichage en tête. Les spots et les affiches sont sans cesse plus nombreux alors que paradoxalement, les consommateurs les regardent de moins en moins, consciemment en tout cas…

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L’une des forces de l’Internet réside dans sa liberté, personne ne peut en contrôler son développement et l’appropriation qui est faite. Ce média “libre” change la donne de la relation des consommateurs avec la marque, plus proches et à la fois plus prudents. Les exemples sont nombreux à présent des logiques interactives de marques qui réussissent et qui échouent, quelques exemples et quelques réflexions…

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