J’espère que vous avez tous passé un joyeux noël, je profite pour ma part de quelques jours de congés, à bientôt…

Créer un blog, y livrer ses réflexions avec une certaine régularité permet de partager et de faire avancer le schmilblick. A momenti m’a également permis de faire de belles rencontres virtuelles et même de recevoir une proposition d’embauche, le blog est-il un vecteur pour l’emploi…

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Ce post est le centième de amomenti, c’est l’occasion d’un petit bilan.

100 posts répartis en 10 catégories.

3 designs en 10 mois d’activité.

En moyenne 10 posts par mois.

De nombreux contacts professionnels intéressants.

30 282 visiteurs, 99 141 pages vues, dont 45% par lecture du feed RSS.

7 minutes passées en moyenne par internaute sur le site.

Et du plaisir…

C’est en regardant les informations du 20h que j’ai pris conscience de ce que j’avais oublié : j’ai la liberté de parler, de m’exprimer, de publier l’information. Nous devons avoir conscience de cette liberté qui n’existe pas dans un grand nombre de pays du globe. A voir : reporters sans frontières.

Je dois changer mon portable de bureau et j’ai plusieurs possibilités, j’aimerais avoir des avis sur les produits en question, si certains d’entre vous ont des retours d’expérience.

Solution 1 : Un Toshiba Tecra A4, raisonnable en terme de prix.

Solution 2 : Un Sony FS295XP, un design plus sympa mais plus cher, mes expériences passées avec Sony me freinent un peu même si c’était il y a 3 ans (problème matériel, batterie, lecteur CD).

Solution 3 : Un Toshiba Portégé S100, design Sympa, moins de 2 kilos… mais plus cher !

Merci à tous de vos avis sur les marques, les modèles…

Histoire de décompresser un peu et de se vider la tête au rythme des embruns de la côte sauvage, un petit tour au bord de la mer pour contempler l’océan d’octobre…

Avez-vous déjà saisi votre nom dans un moteur de recherche ?

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Je rage de ne pas avoir le temps de bloguer, mais je suis débordé de boulot et je prépare l’e-book dont j’ai parlé. A bientôt donc

Un petit passage sur les statistiques du site et je suis agréablement surpris de constater quelques 120 visiteurs par jour (une tendance grandissante). Une audience relative mais fiable sur les quelques mois d’activité duant lesquels, je n’ai effectué qu’une très faible promotion. En revanche, je m’étonne qu’avec plus de 2 000 visiteurs par mois, le blog ne présente que peu, très peu de commentaires…

Je sais que beaucoup de mes visiteurs utilisent le rss pour consulter les posts mais les sujets ne prêtent-ils pas à réaction, à discussion. La question est posée et j’y espère des réponses : suis-je top clair ou trop abscons ? ; )

Retour au bureau après une semaine de vacances bien méritée. Près de 9000 mails (dont beaucoup de spams) et des dizaines de posts de mes camarades blogueurs à compiler. Eh oui j’ai réussi (enfin presque) à me déconnecter quelques jours… A bientôt.

Les français sont “râleurs et pessimistes”, voilà en substance l’image que nous pouvons véhiculer à l’extérieur de nos frontières. L’esprit d’entreprise est constamment contré, décrié, les français se plaignent, sans arrêt…

C’est le cri d’alarme d’Hélène (expatriée au USA) et relayé par Loic Le Meur. Je suis de cet avis, il est temps de réagir à l’heure où les nordiques, les chinois montrent avec brio que la réussite dépend de la confiance et de l’envie. En France, on se moque de toute action visant à mettre en marche une “positive attitude”, nous n’avons pas essayé et nous laissons s’enfuir de l’hexagone : les capitaux, les cerveaux, et l’art (voir le billet sur François Pinault).

Je suis pour l’envie, pour l’entreprise et prêt à considérer le verre à moitié plein. Et vous ?

Juse un bisou pour souhaiter un bon anniversaire à ma nièce Camille…

Webmaster, Webmarketer, e-manager. S’il sagit là de métiers d’avenir sans aucun doute mais sont-ils aujourd’hui déjà présents dans les entreprises ? Bien sûr les collectivités locales, les institutions et certaines très grosses entreprises possèdent leur Webmaster (pour la gestion du site Web) mais bien souvent ces fonctions restent uniquement opérationnelles.

Un Webmarketer dans une PME ? Nous éliminerons de notre réflexion l’entreprise locale qui possède un simple site vitrine mais nous nous intéresserons à toutes les autres. Car en effet, personne n’ignore plus les enjeux du Web et les opportunités qui s’y présentent, un webmarketer (positionnement et référencement) se justifie donc de plus en plus. Pourtant, le pas de l’intégration d’un professionnel est souvent difficile à franchir.

Prenons l’exemple d’une entreprise dont les produits sont segmentés en gamme, qui touche plusieurs publics différents dans plusieurs pays et qui souhaite développer ses ventes, un poste à plein temps est-il nécessaire ? Faut-il un spécialiste ?

Oui et Oui car le développement Web de cette entreprise passe par une maîtrise parfaite de la conception et de l’animation du site Web (seul un professionnel expérimenté pourra éviter les pièges d’une usine à gaz irréférençable), une fois la conception terminée, les mises à jour seront inévitables. Cette seule fonction occupe déjà largement. Mais elle ne représente pourtant que la partie immergée de l’iceberg.

Car la réussite du site dépend de son référencement, de l’appropriation interne, de l’animation, de la fidélisation des internautes et du suivi. Le e-business est un métier, complémentaire à l’informatique, le marketing et la communication mais bien distinct de ces derniers (voir le billet).

Lorsque les entreprises ne souhaitent plus faire appel à des agences extérieures dont l’accompagnement finit par coûter cher, il reste l’intégration. Le développement de ces fonctions dans les PME passera sans doute par un partage du temps, nous professionnels devrons sans doute cumuler plusieurs temps partiels pour accéder à ces responsabilités dans l’entreprise, mais le challenge en vaut la peine.

Messages :

Webmarketer : ayez foi dans les challenges à relever

Décideurs : sachez vous entourer des meilleurs, “fou est celui qui construit sur du sable” (Confucius)

J’ai découvert le Web en 1995, à  cette époque, il n’avait pas le visage qu’il a aujourd’hui. Le directeur de France Télécom déclarait en 1996 “L’internet est une mode qui va passer” (oups !). Professionnel depuis 1997, j’ai suivi certaines de ces évolutions. Je ne suis pas un pionnier, juste un “early adopter”. Quelques dates clés, quelques perceptions…

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On me le demande et c’est légitime, voici donc mon parcours (cv) jusqu’à  aujourd’hui, formation et expériences qui m’ont finalement amené à  publier ce blog. curriculum vitae.