J’aimerais vous parler d’une publicité TV pour les opticiens Atol co-brandée avec Ushuaia. “inspirée par la nature”, Ushuaia a créé des accessoires pour les montures des lunettes Atol (montures interchangeables pour “customiser” ses montures de lunettes.
Ushuaia est une marque créée à l’issue de l’émission de télévision animée par Nicolas Hulot, par ailleurs président de la fondation éponyme et grand défenseur de la terre (Je doute cependant que Nicolas Hulot soit responsable des développements de la marque.). Dans l’esprit, Ushuaia est donc une marque “écolo” si je prends un raccourci. C’est d’ailleurs le positionnement de la marque dans ses produits dérivés (hygiène, cosmétiques).
Quelle est alors la légitimité de cette marque pour des accessoires (sans doute en plastique) de lunettes ? A l’heure d’une consommation plus responsable, n’est-il pas irritant de voir une marque liée à des valeurs durables (préservation de la planète, éthique, etc…) céder à un consumérisme vide de sens ?
Professionnel du web, je commande évidemment en ligne depuis des années et dans l’immense majorité des cas, avec plaisir et succès. Si je n’ai jamais connu de problèmes avec les relations virtuelles, l’affaire s’est parfois corsée au moment de la livraison physique.
Randstad, une agence d’interim belge, partenaire de Justine Henin (championne de tennis) propose en ligne une bonne utilisation du sponsoring sportif. Une preuve supplémentaire qu’un contenu réfléchi et de qualité crée de la valeur sur le web.
La France a connu en 2007 des élections présidentielles et legislatives. Cet évènement médiatique a montré toute l’importance de l’Internet dans le combat d’influence au travers des sites web officiels de partis et des blogs notamment.
En 2008, tout recommence, mais à une autre échelle. Elections municipales et cantonales seront très prochainement d’actualité et la question est posée : les stratégies de communication utilisées sur les plans nationaux sont-elles également valables sur les territoires locaux ? Quels sont les opportunités à saisir et les pièges à éviter ?
J’étais ce matin à une conférence de Stéphane Olaïzola sur les “cyber-mamans et le web 2.0″ organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Choletais. La conférence était intéressante avec une articulation autour des nouveaux enjeux que l’Internet d’aujourd’hui propose aux marques et notamment à celles de la mode (la conférence était organisée pour les entreprises du pôle enfant (Cholet étant le pôle de compétitivité de l’enfant)).
Je ne reviens pas sur le thème mais cette matinée et principalement les échanges et réactions des responsables d’entreprises présents m’ont permis de me rendre compte combien il est important de savoir se mettre sur le bon rythme.
Les sujets abordés par Stéphane font partie de ceux que je traite depuis longtemps sur Amomenti, par petites touches et en fonction des publics. Ce sont des notions que je dois expliquer à des clients puisqu’elles doivent être prises en compte dans les stratégies actuelles.
Mais l’explication en tête à tête ou en petit comité avec des responsables de communication est différente d’une perception globale sans doute plus juste du niveau moyen réel de comprehension. Le web 2.0 dans lequel je baigne depuis plus d’un an est une découverte pour beaucoup d’entrepreneurs qui en perçoivent aujourd’hui avec étonnement les premiers morceaux émergés de l’iceberg.
Et puisqu’avoir raison tout seul c’est bien souvent avoir tort, il me faut veiller à produire une intelligence simple, compréhensible et rapidement assimilable. Woah, quel exercice.
Je reviens sur mon billet d’il y a quelques jours concernant l’opération Joinred, plusieurs marques qui ont développé des produits marqués “rouge” dont une partie des bénéfices est reversé pour la lutte contre le SIDA en Afrique. En y réfléchissant, je me pose certaines questions que je voulais partager avec vous. La défense d’une cause est-elle compatible avec le business ? Lisez la suite »
Vous voulez acheter un iPod, des Converse, une montre Emporio Armani ou un mobile Motorola ? Alors faites le en rouge. Sur www.joinred.com, vous pouvez acheter des produits exclusifs et faire une bonne action puisque qu’une partie du prix est reversée à la lutte contre le SIDA en Afrique. Même si vous n’achetez pas, allez voir et faites passer le mot…
Le Newzy de mai publie un article intéressant sur les marques et leur implication dans le Web 2.0. Dommage de ne pas le retrouver en ligne mais je vous invite à lire un autre article connexe : les nouveaux appâts du marketing.
En substance, on retrouve dans ces articles une prise de conscience des marques de leur crise de confiance chez les consommateurs. Quand on sait que les fondements du marketing (les 4 P) datent de 1960, on peut dire que certains principes ne sont plus vraiment en phase avec leur marché d’où l’émergence de “nouveaux marketings” : viral, influence, permission, etc… J’en reparlerai bientôt, c’est un sujet qui m’anime beaucoup en ce moment.
Rassurez-vous, il ne s’agit ni d’un nouveau syndrome, ni d’une maladie, un “otaku” est un hobby, un intérêt particulier pour quelquechose, quelle qu’elle soit de la collection de figurine en cristal aux “marines”, ces peintures sur le thème de la mer. L’otaku se place partout, le sport, la vie quotidienne, il représente ce que vous pourriez faire pendant des heures. Pour les webplanneurs et tous ceux qui développent des stratégies de communication sur le web, votre otaku est une porte d’entrée.
Excellent billet une fois de plus de Michael Carpentier sur lesbonnesfrequentations.com autour du sujet des marques proactives sur l’Internet et notamment l’exemple de Sheraton.
Un article passionant à lire sur “Les bonnes fréquentations” (merci Michael). Ou comment les mass médias subissent l’avènement des médias personnels ou nano-publications. C’est un changement profond des habitudes des conso-acteurs et donc de la façon dont les marques doivent faire évoluer leur communication.
Décidemment, j’ai du mal à décrocher pendant les vacances…