Je suis de retour depuis plusieurs jours maintenant et j’ai passé d’excellentes vacances merci beaucoup.

Il est toujours amusant de voir un sujet qui nous anime depuis des années devenir un sujet de conversation vécu comme une découverte par une communauté. La réputation numérique, l’image de marque en ligne devient un cheval de bataille pour beaucoup d’entreprises et de responsables de communication. Crise oblige, les PME, les marques distribuées en supermarchés, les consultants, tous et toutes surveillent leur image pour aborder les challenges que propose cette rentrée de presque sortie de crise : (re)conquérir ses clients.

Or la réputation numérique, nous en parlons ensemble depuis plusieurs années, j’en parlais déjà dans Promote, le livre dédié à la promotion interactive publié en 2007 (c’est vous dire… une éternité). Je remets en fin de billet quelques liens vers des articles consacrés au sujet.

La réputation numérique devient donc de plus en plus importante et avec elle les notions de permission marketing, de marketing 2.0, de relation-client. Je sais que ce blog accueille mes clients et certains de ceux qui pourraient le devenir, logique puisque ce blog est une part de mon identité et de ma réputation numérique.

Alors bienvenue sur cette “photo” de moi. N’hésitez pas à parcourir ce blog et surtout rencontrons-nous pour partager et échanger, vous verrez, j’adore partager.

Les grands principes de la réputation numérique
Les dangers d’une mauvaise réputation
Le “branding ID”

C’est la rentrée après 3 semaines de congés. J’avais laissé ce blog en stand by il y a quelques semaines à cause d’un manque de temps et aujourd’hui, je temporise volontairement mon retour. J’aime toujours écrire, je suis toujours concerné au plus haut point par les stratégies du web et le nouveau marketing et je ne ferme pas mon blog du tout.

Je profite simplement d’une certaine (nouvelle) distance de l’actu blogoweb pour travailler sur mon second livre (après Promote). Et prendre du recul est une bonne chose… A bientôt.

Belle stratégie de communication virale de la Chose (agence de marketing viral) autour du cri romantique d’un certain Paul vers Emma : “Emma, je t’aime, reviens”.

Si l’idée est basée sur une histoire aux résonnances personnelles, c’est bien sûr une marque qui est derrière tout ça et derrière le blog : www.emmajetaime.com, preuves en sont les moyens utilisés et la juste utilisation de différents médias (presse, radio, télévision, web…). Une nouvelle illustration que le développement de l’audience peut s’appuyer sur un grand nombre de leviers (25 leviers selon Promote). Rappel des faits sur le JDD.

Une idée ?

Le web d’aujourd’hui permet plus que jamais de parler pour une entreprise de mesure et de retour sur investissement publicitaire. On parle de “performance marketing”. Simple à mettre en oeuvre, cette stratégie de communication garantit des résultats dès lors que l’on respecte ses 3 éléments clés.

Le “performance marketing” ou “marketing à la performance” induit notamment la notion que chaque investissement publicitaire est utile et que l’on peut mesurer son efficacité. Ainsi, les moyens mis en oeuvre (humains et financiers) sont en permanence ajustés pour affiner leur efficacité et optimiser l’investissement. Pour y parvenir, il existe 3 clés essentielles à respecter.
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Désormais, toutes les entreprises sont conscientes de l’enjeu que représente la présence dans les moteurs de recherche. En bon élève de ce que je préconise dans “Promote”, je ne vous dirai pas que cette seule présence suffit (elle ne représente qu’un des 25 leviers présentés dans le livre). Il existe en effet bien d’autres voies pour que l’internaute qui sera séduit par votre offre “atterrisse” sur votre site.
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Le Search Marketing ou marketing de la recherche est l’un des leviers les plus importants pour le développement de votre audience. Il comprend les liens commerciaux comme Google Adwords mais également le référencement naturel. La question est comment peut-on s’appuyer sur le search marketing pour développer l’audience de son site.

Comme tout marketing, le SEM (Search Engine Marketing) est un mélange de stratégie et de tactiques. la stratégie définit les cibles et les objectifs généraux alors que les tactiques concernent les positionnements précis sur certains mots-clés. Il ne suffit pas de se battre pour exister sur un mot-clé précis mais de faire progresser les positions globales d’un site sur un territoire sémantique complet.

Paradoxalement, il est important de porter son attention sur les autres leviers de la promotion interactive pour progresser dans les moteurs de recherche. Dans “Promote”, le livre dédié à la promotion interactive, 25 leviers sont décrits, expliqués. Les utiliser avec stratégie et de manière organisée vous permettra d’atteindre vos objectifs. Pour continuer cette réflexion, découvrez gratuitement les 60 premières pages du livre Promote.

Histoire de juger de votre créativité, je lance un petit concours sur ce blog avec 15 â?¬ en bon d’achat à gagner sur alapage.com (informatique, disques, sorties…). Date limite le 30 juin à minuit (heure française).

Sujet du concours : “imaginez la meilleure promesse possible tenue par le livre Promote” (http://www.amomenti.com/blog/livres/).

Pour vous quel serait le meilleur texte de lien ou image ou animation à placer sur votre blog ou site perso pour inviter un internaute à venir découvrir “Promote”, le livre dédié à la promotion interactive. Petite astuce : les deux premiers chapitres du livre sont téléchargeables gratuitement.

N’hésitez pas à publier sur ce blog par les commentaires ou sur le vôtre avec trackback, email, etc… Pertinence, originalité et impact seront les deux critères de sélection. Bonne chance !

Publié le 20 février 2007, Promote reçoit depuis un accueil et des commentaires très favorables auprès des internautes experts comme des chefs d’entreprise ou responsables de communication qui souhaitent développer l’audience utile de leur site web. Fort de ce succès, je travaille actuellement à l’écriture d’autres livres (inscrivez votre email dans le menu à droite de la page pour être informé des prochaines sorties).

Pour diffuser plus encore le message des “bonnes attitudes”, je libère les deux premiers chapitres du livre au téléchargement gratuit. 60 pages sur la stratégie pour le web d’entreprise et les clés de succès sur le conception web. N’héistez pas à le lire, le commenter sur ce blog ou sur le vôtre et à le transmettre à vos connaissances ou clients.

Téléchargez gratuitement les deux premiers chapitres de Promote.

Le livre dans son intégralité est toujours disponible au format numérique à partir de 14,99 â?¬ ainsi qu’en livre traditionnel à commander en ligne sur Lulu.com et Amazon.

Je pense que je mettrai prochainement à disposition gratuite les deux premiers chapitres de mon livre “Promote - développez l’audience utile d’un site web”. Il s’agit simplement d’offrir au plus grand nombre une partie de ma réflexion. Ceux qui ont déjà acheté le livre ou qui vont le faire ne sont pas lésés puisqu’il comporte 7 chapitres et que les leviers de promotion interactive, la blogosphère, l’outil Equalizer ou la mesure resteront des thèmes réservés à la version payante.

Prochainement donc, les 2 premiers chapitres de Promote dont voici le sommaire :

Préface
Introduction
Utilisation du livre

PARTIE I :: Une démarche globale nécessaire

Chap. 1 : La stratégie de promotion interactive

. Pourquoi
. Lâ??argent et le temps
. Vous avez dit stratégie ?
. Quels objectifs pour le site Web
. Les étapes de la démarche

Chap. 2 : Le site Web : partir sur des bases saines

. Préparez votre atterrissage
. Lâ??expérience utilisateur
. La valeur dâ??un site Web
. . . Lâ??utilité
. . . Lâ??ergonomie
. . . La visibilité
. . . La crédibilité
. . . La compatibilité
. . . Le design

Et retrouvez sur un billet précédent le sommaire complet de Promote. Plus d’infos et des commentaires de lecteurs en cliquant sur le menu “Livres” de ce blog.

Pour en profiter au plus vite, n’hésitez pas à vous abonner au fil RSS de ce blog ou mieux encore de saisir votre email à droite puis de cliquer sur “Je m’inscris”. Je vous rassure, l’information par email reste exceptionnelle.

Olivier Andrieu d’Abondance publie une étude sur les incidences du nom de domaine sur le référencement d’un site. Je l’ai acheté et lu dans la foulée. Le contenu de l’étude est intéressant et les données sont clairement exposées, c’est une bonne lecture pour les professionnels et experts SEO prêts à lâcher 24,90 â?¬HT pour 43 pages dont 12 de résultats d’étude.

Je ne critique pas le choix d’Olivier, la qualité et la quantité ne font pas toujours bon ménage et le contenu est de qualité. Mais le prix me paraît psychologiquement élevé. Qu’en pensez-vous ?

Pour info, j’avais traité du sujet des noms de domaine il y a quelques temps en livrant un extrait gratuit de “Promote” (toujours téléchargeable gratuitement) . Le nom de domaine est le premier levier de la promotion interactive.

L’amélioration du réferencement d’un site ou plutôt l’optimisation de son positionnement dans les moteurs de recherche dépend d’une combinaison de facteurs qu’il faut savoir équilibrer pour voir ses pages présentées en “zone chaude” d’une page de résultats (la zone chause correspond aux 4 ou 5 résultats qui sont visibles sans utiliser le scrolling de la page (l’ascenseur vertical)). Voilà ce qui constitue le Top 10 des clés SEO (aujourd’hui bien sûr, tout change tellement vite que certains de ces points pourront s’avérer obsolètes dans quelques mois).
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J’avais été frappé lors de mon premier séjour au Québec il y quelques années de constater que l’univers professionnel de nos “cousins” outre-atlantique avait une longueur d’avance sur la France. J’ai eu envie de me replonger un peu dans le futur grâce à mon ami Michael, vous aurez compris que je mets beaucoup d’affection dans mon terme “d’autochtone”. Je lui souhaite d’ailleurs bon courage pour la conférence qu’il anime ce matin à Montréal.

Interview donc d’un pro au Québec…
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L’une des formidables évolutions apportée par l’Internet est la création d’un nouveau monde où les images sont lissées. Les petites et les très grandes entreprises sont, en quelque sorte, sur un pied d’égalité. Combien de “tout petits” ont développé un véritable leadership en ligne sur un marché traditionnel dévolu aux entreprises tentaculaires ? En ce sens, on peut dire que l’Internet et le web en particulier, ont créé de formidables opportunités. Aujourd’hui, qu’est ce qui a changé ?
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Le web va tellement vite qu’il faut beaucoup de temps pour compiler et assimiler les informations sur son évolution. Je me suis rendu compte que j’avais publié beaucoup sur le sujet du référencement dernièrement. Je vous livre donc mon “Top 10 de ce qui m’a animé (en avril) concernant le référencement”. Pas de grandes révélations mais une synthèse utile pour moi et que je partage avec vous.
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Lors de l’écriture de Promote, j’ai souvent été frustré de ne pas pouvoir écrire ou taper aussi vite que je pensais. Les nombreuses relectures m’ont permis de remanier certains passages dont la compréhension ne reflétait pas justement mon idée. Pourtant, Damien Kazhar, éditeur francophone pour Dmoz m’a fait part d’une remarque qui justifiait ce billet, je vous le livre tel quel.

Je désire vous faire une petite remarque dans votre livre Promote qui est, malgré celà très intéréssant.

A la page 47, vous dites :

“Attention cependant à ne pas négliger les balises meta comme la description. Son contenu est parfois utilisé par les moteurs de recherche pour décrire la page proposée en résultat de recherche (c’est le cas de Google ou dmoz)”

Deux choses donc
Tout d’abord, dmoz n’est absolument pas un moteur de recherche. Il s’agit du plus grand annuaire du web, maintenu par une communauté de bénévoles (plus de 7 000 actifs).
La différence est conséquente. Nous classons les sites par catégorie, pas par mots clés. Et surtout, les sites sont sélectionnés en fonction de la présence de contenu de qualité ou non.

La seconde chose, c’est la balise meta. Dmoz n’utilise absolument pas les balises meta, ni dans les titres, ni dans les descriptions. Nous avons des directives d’édition assez strictes à ce niveau. Elles sont disponibles ici :http://dmoz.org/World/Fran%c3%a7ais/guidelines/describing.html
Nous rédigeons nous même tous les titres et toutes les descriptions.

De plus, au passage, Google n’utilise pas toujours la description de la balise meta. Il utilise également régulièrement un résumé automatique du contenu de la page, ou même, la description faite pour la page dans l’annuaire dmoz.

Merci donc à Damien d’avoir apporté ces précisions et approfondi ma pensée initiale.