Publication digitale
Je sais que je ne publie pas plus très souvent sur ce blog, la priorité est donnée à mes clients et pour tout vous dire, je passe également beaucoup de temps en ce moment sur le futur de la publication digitale.
Il y a l’iPad bien sûr (et j’entends d’ici tous les chagrins me sortir les chiffres du Q4 d’Apple, 4,19 millions d’unités vendues seulement - attendez un peu on verra bien), mais aussi toutes les autres tablettes qui arrivent. Les opérateurs ne laisseront pas passer ça (Orange prépare la sienne). Il ne faudra pas longtemps à ces tablettes pour enterrer les mini-notebooks et devenir aussi omniprésents que les mobiles, largeur d’écran et simplicité tactile en plus.
Bref, de nouveaux comportements de consommation “média” arrivent à grande vitesse et il faudra donc de nouveaux types de contenus. Depuis 15 ans, la conception “print” n’avait cessé de s’éloigner d’une conception digitale toujours plus riche de 3D, vidéos, animations et interactivités en tous genres. Mais aujourd’hui, enfin, elles se rejoignent dans une nouvelle forme de communication défrichée par l’iPad et quelques magazines précurseurs comme Wired ou le New Yorker. Les applications sont infinies et les outils pour créer ces contenus arrivent.
J’ai le bonheur de participer au Prerelease Program d’Adobe sur le digital publishing (la publication digitale quoi!), donc je teste, je découvre et je jubile. Le 23 octobre, c’est le MAX, la grande messe d’Adobe, on y attend des annonces, des outils et un futur très excitant pour le digital et la com’ en général qui frappe à la porte.
On s’en reparle bientôt ?
La blague du week-end : j’ai rangé et trié mes livres sur le marketing, le digital, le web, l’ergonomie, le référencement, le community management, etc… Eh bien, ça me prend une pleine bibliothèque… 
Catégorie : Stratégie, Technologies |
22 octobre 2010 :: 8:21
Jouons les troubles fêtes : la publication digital offre une nouvelle façon d’avoir accès à l’information, qui donne de nombreux avantages. Mais ne laisse-t-elle pas sur le banc de touche toute une catégorie de la population qui, avouons le bien, n’était déjà pas beaucoup pris en considération : tous les aveugles et mal voyants ? Tous ces smart phone qui ont supprimé leurs touches pour se mettre au 100% tactile, n’est-ce pas en fait une catastrophe pour cette catégorie de personne ?
Je suis pour toutes ces nouvelles technologie, mais je n’oublie pas non plus qu’un livre, imprimé ou en braille, n’utilise pas de batterie pour fonctionner et ne risque aucun bugs ou virus. Ma bibliothèque n’as pas besoin de prise de courant, et ça, c’est révolutionnaire ! (Allez, fin de lamentations, retournons à la fête !)
22 octobre 2010 :: 12:19
Je ne peux qu’être d’accord avec vous. La publication digitale ne remplace pas le papier, elle lui offre cependant un nouveau terrain d’expression passionnant.