J’aimerais vous parler d’une publicité TV pour les opticiens Atol co-brandée avec Ushuaia. “inspirée par la nature”, Ushuaia a créé des accessoires pour les montures des lunettes Atol (montures interchangeables pour “customiser” ses montures de lunettes.

Ushuaia est une marque créée à l’issue de l’émission de télévision animée par Nicolas Hulot, par ailleurs président de la fondation éponyme et grand défenseur de la terre (Je doute cependant que Nicolas Hulot soit responsable des développements de la marque.). Dans l’esprit, Ushuaia est donc une marque “écolo” si je prends un raccourci. C’est d’ailleurs le positionnement de la marque dans ses produits dérivés (hygiène, cosmétiques).

Quelle est alors la légitimité de cette marque pour des accessoires (sans doute en plastique) de lunettes ? A l’heure d’une consommation plus responsable, n’est-il pas irritant de voir une marque liée à des valeurs durables (préservation de la planète, éthique, etc…) céder à un consumérisme vide de sens ?

Moi ça m’énerve !

Votre site web fait partie d’un écosystème, c’est à dire qu’il évolue dans un espace particulier au milieu d’autres sites web. J’utilise actuellement cette analogie naturelle pour expliquer l’importance de la promotion interactive. En effet, pour appréhender justement les sources potentielles d’audience il est nécessaire d’identifier ses clients, leurs “carrefours de connexion” (c’est à dire les sites principaux où ils se connectent) mais aussi ses concurrents et les influenceurs de son écosystème.

Une fois que vous aurez identifié tous ces points de trafic et le langage propre de votre écosystème (l’univers sémantique), il vous sera beaucoup plus aisé de définir les actions permettant de développer votre audience utile (liens commerciaux, achats d’espace, liens contextuels et mots-clés pour le référencement naturel).

Les 16 et 17 mars prochains, je serai de retour à Sciencescom, l’école qui m’a formé à la communication et sans doute la meilleure expérience de ma vie d’étudiant par la qualité de son enseignement. Je retournerai donc dans mon école non pas en tant qu’étudiant mais en tant qu’intervenant auprès du bachelor éditeur de contenus médias (Bac+3).

Mon rôle durant ces deux jours sera de dresser un panorama compréhensible des enjeux du web 2.0 et de partager mon expérience. Je vous raconterai sans doute le résultat de mon intervention ici. D’ici là, je planche sur le contenu. J’ai la mémoire d’intervenants pertinents et passionnants lors de mes années d’études, j’espère bien être de ceux là : )

Facebook m’a apporté cette semaine une connexion intéressante, enfin un côté positif de Facebook devrai-je dire. J’ai en effet été contacté par Jean-François Ruiz pour le rejoindre sur le groupe webdeux.info (WEC), une communauté dédié à l’expertise web.

Je viens d’y lire une vidéo sur l’application “greasemonkey” pour faciliter et hiérarchiser les flux RSS selon leur importance. Je ne l’ai pas encore mis en place mais la vidéo était sympa et bien faite. Il reste que j’ai connu de nombreuses communautés de ce type qui après l’euphorie du début marquait le pas de leur intérêt. L’enjeu sera comme toujours la continuité. A suivre donc…

Vous envisagez une refonte ou la création de votre site web et vous vous posez naturellement certaines questions : quel prestataire, quel contenu, quel design ? Pour y répondre, vous avez bien sûr vos idées mais vous souhaitez que chacun dans votre entreprise se sente concerné par le sujet, vous décidez donc de partager la gestion de ce projet avec un comité ; louable intention mais pleine de pièges. Vous trouverez ici les bonnes et les mauvaises pratiques liée au comité de pilotage d’un projet web.
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Je vous ai déjà parlé des différentes lectures que peut proposer un site web : linéaire (la plus importante) qui offre une continuité de lecture grâce à des liens internes ou en fin de contenu ; d’attraction qui permet d’attirer (comme son nom l’indique) l’attention de l’internaute vers un contenu qui, a priori, n’était pas dans la continuité de son cheminement classique ; et synthétique qui représente la forme la plus classique d’accès aux contenus du site : le menu (navigation qui répond au besoin d’une recherche précise et à un raccourci vers les contenus attendus).

Il y a un site que j’aimerais partager avec vous et qui fait entorse à ces principes théoriques de manière intéressante. Le menu (lecture synthétique donc) se présente de manière forte et propose ainsi une bonne mise en valeur des contenus. Le synthétique devient linéaire. Un contre-pied créatif à la mise en page classique.

Plus d’informations sur les lectures d’un site web

Bien sûr, il n’y a pas que le travail dans la vie et ma famille et les enfants sont les plus importants. Mais il reste que je passe des heures au travail, avec mes collègues, mes clients et si j’ai choisi ce métier et l’Internet, c’est parce que cela me fait vibrer.

Je suis un homme d’idées, de conviction et j’ai besoin de les exprimer aussi dans mon travail. Merci à mes clients qui me permettent de vivre ça. J’apprends aussi des autres et leurs propres convictions, leurs propres élans me nourrissent. Ce billet est peut être un peu particulier mais c’est la manière que j’ai trouvé de dire que l’envie exprimée par Laurent Rossini et Yannick Hennequin m’a touché. Leur livre “expérience” : les obaméricains reflète une véritable énergie. Je le commande.

Avec l’avènement des nano-médias que sont les blogs et le développement des réseaux sociaux, le “off” a disparu du champ politique. Le “off” représentait ce qui pouvait se dire hors médias. Aujourd’hui que la moindre parole est relayée par des centaines de sites sur le web, nos hommes et femmes politiques doivent composer avec cette nouvelle omni-visibilité. Fini en effet de composer uniquement avec les grands médias, les principaux candidats de la dernière élection présidentielle française l’ont parfois appris douloureusement.

On peut dire beaucoup de choses sur les politiques en général, il faut cependant leur reconnaître une forte capacité à apprendre, en réalité et malheureusement, plus vite que bon nombre de décideurs d’entreprise.

L’internet en général et le web en particulier sont devenus de véritables armes pour qui sait les manier. Dans ce domaine, les français(es) sont encore de jeunes samouraïs, parfois malhabiles, il arrive même qu’ils se blessent en manipulant ce nouvel outil.

Comme pour tout art, il existe des “maîtres”. Sur le plan du web politique, l’exemple donné par Barack Obama est riche d’enseignements. Michael Carpentier, un “samouraï” du web dresse une excellente note sur son blog détaillant les techniques utilisées par les équipes du nouveau président américain. Le billet est complet et montre notamment que si le web est LA nouvelle arme politique, la maîtrise de ce nouvel art s’acquiert avec le temps et comme pour toute démarche marketing interactif (normale), une relation se construit avec implication et sincérité.

Merci Michael