La CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) vient de donner son interpretation de la récente Loi pour la Confiance en l’Economie Numérique, une position qui favorise les échanges et la prospection entre professionnels.

La CNIL donne ainsi une nouvelle interprétation de la LCEN qui rassure les professionnels, elle déclare : ‘Des personnes physiques peuvent être prospectées par courrier électronique à leur adresse électronique professionnelle et au titre de la fonction qu’elles exercent dans l’organisme privé ou public qui leur a attribué cette adresse, sans leur accord préalable. L’envoi d’un message présentant les mérites d’un logiciel à paul.toto@nomdelasociété , directeur informatique, sans l’accord préalable de M. Paul Toto, est acceptable, non l’envoi d’un message vantant le charme du tourisme aux Caraïbes en hiver’.

Cette prise de position est très importante puisque si la LCEN du 22 juin 2004 semblait réduire la champ de la prospection par e-mail aux clients seulement, la CNIL ouvre désormais ces possibilités aux prospects dès lors qu’ils sont considérés par l’envoi comme responsable d’une fonction dans l’entreprise et non en particulier.

La CNIL pose ainsi clairement un champ favorable pour la prospection en BtoB (de professionnels à professionnels) tout en conservant des restrictions dans les domaines du BtoC (de professionnels à particuliers).

Pour en savoir plus, consultez l’article du Journal du Net.

Après avoir été Palm Pilot, puis Handspring, je viens d’acheter le smartphone Ericsson P900. Au départ je m’étais fixé sur le P910i mais le revendeur (enfin quelqu’un qui sait de quoi il parle) m’a convaincu, la différence de prix ne vaut pas la différence technologique. Ok.

Pourquoi un Smartphone ? Je ne suis pas un obsédé de la technologie (d’ailleurs il y a déjà  bien longtemps que ce téléphone est sorti) mais l’idée est séduisante de fondre en un seul appareil ergonomique : mon téléphone, mon PDA (organiseur) et un outil pour gérer mes mails sans PC.

Je vous raconterai les avantages et inconvénients de mon choix (pour l’instant c’est plutà´t largement positif).

Qu’est-ce qui fait courir les internautes ? A cette question, une récente étude du Forrester Research répond par une enquête qui montre que la rapidité et le contenu restent les principales valeurs du Web. L’internaute doit pouvoir accéder rapidement à ce qui l’intéresse et y trouver une information actualisée. Et il s’agit là d’un point principal ; les internautes sont implacables !

Un site qui n’est pas mis à jour est automatiquement jugé négativement. La confiance du client ou du prospect est alors perdue, si en plus on garde en mémoire que chaque site n’est qu’à un clic de son concurrent, on prend alors conscience de l’importance de la mise à jour des sites.

Principaux facteurs de fidélisation des internautes :

1. qualité du contenu 75%
2. facilité dâ??utilisation 66%
3. rapidité de téléchargement 58%
4. fréquence de mise à jour 54%
5. promotions et remises 14%
6. marque 13%
7. technologie 12%
8. jeux 11%
9. options dâ??achat 11%
10. personnalisation du contenu 10%
11. chat et BBS 10%
12. autres 6%

Source Forrester Research

J’ai découvert le Web en 1995, à  cette époque, il n’avait pas le visage qu’il a aujourd’hui. Le directeur de France Télécom déclarait en 1996 “L’internet est une mode qui va passer” (oups !). Professionnel depuis 1997, j’ai suivi certaines de ces évolutions. Je ne suis pas un pionnier, juste un “early adopter”. Quelques dates clés, quelques perceptions…

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Le Web étonne sans cesse pour ses possibilités créatives. Flash notamment, l’outil vedette de Macromedia permet l’utilisation d’animations de sons et de video (de plus en plus acceptés du fait de la généralisation des haut-débits). Voici une adresse qui chaque jour vous propose ce que l’on peut faire avec ce type d’outil.

Attention cependant, le design ne doit pas nuire au contenu et au référencement, l’utilisation de Flash est donc à étudier et à cadrer…

Favorite Web site awards

On me le demande et c’est légitime, voici donc mon parcours (cv) jusqu’à  aujourd’hui, formation et expériences qui m’ont finalement amené à  publier ce blog. curriculum vitae.

Informatique, communication, marketing, la place du Web et plus généralement du e-business dans l’entreprise est sujette à  interprétation et bien souvent isolée. Parfois rattachée à  la direction générale (ce qui n’est pas la plus mauvaise position pour une dimension statégique), les entreprises ont parfois du mal à  saisir toute l’importance de ce qui devrait àªtre un nouveau département.

Le e-business se trouve en effet à  la “croisée des chemins”, comme le montre le schéma ci-dessus, il se positionne en fédérateur des services Communication, Marketing et Informatique sans oublier son attachement au management général. Comprendre cette position et la favoriser dans l’entreprise est une clé de réussite indéniable.

C’est fait, c’est décidé, j’ouvre un blog pour commenter et partager mon quotidien professionnel. Bien loin d’une critique sur l’entreprise dans laquelle je travaille ou les récits de mes journées, mais plutôt une synthèse des réflexions, des stratégies, des opportunités autour du Web.

J’ai découvert l’Internet en 1996 et m’y suis professionnellement plongé en 1997. 8 ans d’expérience font grossir les valises et le blog est un bon exercice pour organiser tout ce que l’on peut y ranger. Le blog ne m’est pas inconnu puisque j’ai posté mon premier billet à l’automne 2001, j’aborde donc avec sérénité et plaisir la naissance de a momenti (”a certains moments” en italien ; pourquoi ? Pourquoi pas).

Merci à ceux qui me liront et réagiront sur cet espace ouvert dédié au Web et au Business.

Stéphane Brossard